Info du mois : Telephone portable
25 December 2015
Telephone portable
Décembre, le mois des cadeaux.
En effet, décembre = Noël = cadeaux.
Le 24 vient de se terminer et lorsque je vois le nombre de téléphone portable se trouvant dans la hotte du père Noël, je ne peux m'empêcher de faire une petite info sur ce sujet.
Je ne vais pas (re) parler de la nocivité des ondes électromagnétiques sur l'environnement et notre organisme (quoique) mais bien sur l'ADDICTION au téléphone portable.
Plusieurs études montrent que nous sommes (tous) accros.
Selon des chercheurs américains, perdre son portable peut provoquer un stress intense. Cette affection porte le nom de nomophobie.
Contraction de l'anglais "no mobile phone phobia".
Ce terme n'est autre que la peur de perdre son téléphone portable ouo la peur de ne plus pouvoir l'utiliser.
Cette crainte peut provoquer un stress important chez certains utilisateurs dépendants.
Les utilisateurs vérifient sans arrêt leur portable pour savoir si le signal wi-fi fonctionne correctement ou revient s'il était absent, ou alors, ils se sentent anxieux s'ils ne peuvent vérifier leur messagerie !
Que dire l'augmentation du stress si la batterie est en train de se décharger (1 barre) ou rendre l'âme.
L'angoisse monte d'un cran également si on arrive à la fin du forfait et qu'il va falloir attendre quelques jours pour repasser des appels !
Il y a aussi le "syndrome du téléphone fantôme". Fausse impression que le téléphone est en train de vibrer. Impression qui peut aussi être auditive avec la sensation d'entendre son téléphone sonner alors que ce n'est nullement le cas. Là aussi, le spectre de l'addiction n'est pas loin.
Il ne faut pas omettre la "textonite". Eh oui, les articulations morflent aussi de notre attachement au portable. Les adolescents envoient ............2 500 sms par mois, beaucoup d'entre eux sont donc de bons candidats à la maladie de Quervain ou ténosynovite.
Les yeux également sont à rude épreuve.
Le syndrome de l'oeil sec. Avoir les yeux rivés sur un écran de petite taille peut induire une réduction du nombre de clignements d'environ un tiers qui peut provoquer une modification importante de la production de larmes, et amener à terme des dommages permanents des yeux.
En effet, décembre = Noël = cadeaux.
Le 24 vient de se terminer et lorsque je vois le nombre de téléphone portable se trouvant dans la hotte du père Noël, je ne peux m'empêcher de faire une petite info sur ce sujet.
Je ne vais pas (re) parler de la nocivité des ondes électromagnétiques sur l'environnement et notre organisme (quoique) mais bien sur l'ADDICTION au téléphone portable.
Plusieurs études montrent que nous sommes (tous) accros.
Selon des chercheurs américains, perdre son portable peut provoquer un stress intense. Cette affection porte le nom de nomophobie.
Contraction de l'anglais "no mobile phone phobia".
Ce terme n'est autre que la peur de perdre son téléphone portable ouo la peur de ne plus pouvoir l'utiliser.
Cette crainte peut provoquer un stress important chez certains utilisateurs dépendants.
Les utilisateurs vérifient sans arrêt leur portable pour savoir si le signal wi-fi fonctionne correctement ou revient s'il était absent, ou alors, ils se sentent anxieux s'ils ne peuvent vérifier leur messagerie !
Que dire l'augmentation du stress si la batterie est en train de se décharger (1 barre) ou rendre l'âme.
L'angoisse monte d'un cran également si on arrive à la fin du forfait et qu'il va falloir attendre quelques jours pour repasser des appels !
Il y a aussi le "syndrome du téléphone fantôme". Fausse impression que le téléphone est en train de vibrer. Impression qui peut aussi être auditive avec la sensation d'entendre son téléphone sonner alors que ce n'est nullement le cas. Là aussi, le spectre de l'addiction n'est pas loin.
Il ne faut pas omettre la "textonite". Eh oui, les articulations morflent aussi de notre attachement au portable. Les adolescents envoient ............2 500 sms par mois, beaucoup d'entre eux sont donc de bons candidats à la maladie de Quervain ou ténosynovite.
Les yeux également sont à rude épreuve.
Le syndrome de l'oeil sec. Avoir les yeux rivés sur un écran de petite taille peut induire une réduction du nombre de clignements d'environ un tiers qui peut provoquer une modification importante de la production de larmes, et amener à terme des dommages permanents des yeux.
Alors portable OUI, mais pour une utilisation modérée !
- Extranet